Mathyas Lefebure, le berger qui veut sauver son âme

Les moutons, Mademoiselle Plume, la bergère et moi à Second Regard, Radio-Canada, le 11 avril 2010. Il y sera question de cimes et de Nietzsche.

C'est ici.

1 commentaire:

  1. Québec, le 12 septembre 2010

    Bonjour Mathyas,

    C'est avec beaucoup de retard que je viens de terminer votre récit, car je ne vous ai vu que récemment à Second Regard.

    Avec vous, j'ai ri, j'ai pleuré, j'ai eu peur, j'ai crains, j'ai souffert, je me suis sustenté, je me suis fait passer plusieurs canons derrière la cravate, j'ai eu des montées de testostérone, j'ai été mystifié, j'ai admiré, j'ai lévité, j'ai aimé.

    Je vous félicite d'avoir eu la courageuse conscience de laisser tomber le Capital pour le Pastoral. C'est un rêve que je n'ai pas réalisé, mais que je vis à travers votre récit. J'ai maintenant 60 ans; jeune, j'ai rêvé de garder les moutons dans les alpages écossais. Rien de dramatique de ne pas avoir réalisé ce rêve : je relirai votre livre et rêverai et méditerai.

    Votre récit, D'où viens-tu berger? est une splendeur littéraire et la réflexion est profonde. Vous avez su raconter avec simplicité, sans fioritures, avec une intensité réflexive éminemment philosophique à l'opposé d'une quelconque prétention nombriliste.

    Je me fais un devoir de recommander votre récit à mes amis, tout autant ceux qui semblent éloignés de la vie pastorale que ceux et celles qui, je le sais à l'avance, seront ravis.

    Bientôt, je lirai votre second opus, Le grand livre des fous; et j'ai beaucoup aimé votre nouvelle Les lucarnes de Rasinari.

    Meilleures salutations à vous et à votre bergère.

    Jacques Ouellette

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